La technologie au service de la santé

Les découvertes scientifiques de ces dernières années ont permis de réaliser des progrès énormes dans tous les domaines. Nous entendons souvent parler de leur impact négatif sur l’environnement mais elles ne  sont pas moins utiles. Dans le secteur de la santé par exemple, on note des avancées considérables qu’il serait bien de mentionner.

Prothèses High Tech

Nous sommes bien loin de l’époque du Capitaine Crochet et de sa jambe de bois. Aujourd’hui, les personnes handicapées peuvent bénéficier de prothèses de dernière génération contrôlables par la pensée. Ceci est rendu par l’apprentissage automatisé qui permet aux implants d’amplifier les signaux nerveux. Cette technologie n’est pas encore aboutie mais c’est déjà une joie de pouvoir redonner aux personnes infirmes l’espoir de retrouver des capacités motrices perdues.

5G et Médecine

Avec la 5G et surtout dans ce contexte de crise sanitaire, les téléconsultations médicales ont le vent en poulpe. Se faire soigner sans aller dans un cabinet médical n’a jamais été si simple. Les opérations de chirurgie à distance se multiplient. Se faire opérer à distance permettra de réduit les coûts liés au déplacement du malade ou des équipements. La vitesse de connectivité de la 5G permettra au praticien d’opérer en temps réel grâce à des machines et d’interagir de façon dynamique avec ses assistants sur place.

Technologie d’absorption du C02

Le CO2 est à l’origine de nombreux problèmes sanitaires aux quel nous faisons face. Aujourd’hui encore, nous avons les arbres pour absorber une partie du C02 que nous produisons. Malheureusement chaque jour c’est des milliards de m² de forets qui sont rasés. Dans les années à venir, il faudra développer et industrialiser à grande échelle une technologie qui absorbe de façon significative le CO2 dans l’air. Des sociétés comme Carbon Engineering, Global Thermostat et Climeworks présentent déjà les prémices de cette technologie. Climeworks par exemple espère pouvoir capter près 10 millions de tonnes de CO2 par an d’ici une dizaine d’année. De quoi rendre l’air un peu plus saint pour nos poumons.